Les flux d'informations seront dépendants de la participation du public, d'où l'aspect
Citizen Science.
Les participants devront réaliser des recherches documentaires, collecter des cartes, documents et photos, afin de les intégrer dans ArcheoView.
Afin de pouvoir maintenir des textes de qualités scientifiques, les saisies d'informations effectuées seront validées par des professionnels avant toute publication. Les institutions officielles, comme les archéologies cantonales, pourront exercer ce rôle de contrôle, si elles le souhaitent.
Ce projet dépassera les frontières de la Suisse et touchera également d'autres pays Européens.